Si vous êtes arrivés là, c’est surement pour en savoir plus sur Oh my Kech !
Chez Oh my Kech, les artisans sont au cœur de notre activité. Nous travaillons directement avec eux, pas d’intermédiaires.
Pourquoi, alors que c’est plus facile de se procurer chez un fournisseur qui fait la moitié du travail pour nous ? Tout simplement parce que quand on travaille directement avec l’artisan, on sait qu’il est payé à sa juste valeur.
Ce qu’on fait concrètement … On sillonne le Maroc pour vous dénicher de merveilleux Tapis Berbères, on déambule dans la médina de Marrakech pour trouver les meilleurs artisans, et tout cela … rien que pour vous !
Vous voulez savoir POURQUOI on « je » fait ça ? L’histoire en vaut la chandelle …
Oh my kech est né d’une passion. Une passion pour l’art et l’artisanat. J’ai toujours rêvé de créer des choses et faire passer des messages à travers des œuvres. Mais hélas, le destin m’a guidé ailleurs. Entre études supérieures, passer des stages en entreprises et décrocher un CDI, j’ai oublié cette envie latente d’apprendre un métier d’artisan.
Quelques années plus tard, j’ai décidé de tout arrêter et vivre mon rêve autrement. Promouvoir et mettre la lumière sur l’artisanat marocain.
Oh my Kech est plus qu’un site de vente de produits artisanaux. C’est une expérience artisanale ! Pour vous et pour moi.
Je me présente ! Yassine, né à la médina de Marrakech, fils d’un commerçant et d’une ex-employée de banque, petit fils d’une tisseuse de Tapis « Lalla Fatima » et d’un commerçant « Hajj Kabbour ».
J’ai passé mon enfance à déambuler dans les petites ruelles de la médina. Entre Jamaa EL Fana, Rahba Lkdima, Semmarine et j’en passe, j’ai toujours été ébahi par les couleurs, les odeurs et les brouhahas.
Je passais quasiment tous les weekends avec mon père au magasin à Semmarine (un derb à la medina pas loin de Place Jamâa El Fna). J’essayais de faire des nœuds sur un métier à tisser alors que je n’avais que 5 ans. Je me rappelle de Leïla, tisseuse dans le magasin, elle me montrait comment faire un nœud, comment utiliser le peigne pour effilocher la laine ou le peigne à carder pour presser les nœuds.
Ma grand-mère « Lalla Fatima » a quitté son village qui se trouve aux environs de Ouarzazate dans le Haut Atlas avec sa mère et son oncle pour s’installer à Marrakech. C’était pendant les années 20’. Elle a commencé à tisser des tapis qu’elle vendait aux commerçants dans les souks de la médina.
Mon grand-père « Hajj Kebbour » était un passionné de l’art. Avec son frère, ils sillonnaient le Maroc à la découverte de nouveaux trésors, d’artisanat marocain, et aussi des objets d’antiquités.
« Lalla Fatima » et « Hajj Kebbour » se sont rencontrés. Elle, avec son savoir-faire en tissage de tapis, et lui avec ses connaissances dans le commerce, ils ont décidé d’ouvrir une boutique ensemble. Ma grand-mère a donc ouvert un atelier où elle formait des femmes à devenir tisseuses et mon grand-père gérait le magasin.
Aujourd’hui, je suis heureux de vous présenter mon projet. Revenir aux sources, mettre en avant le travail des femmes et des hommes, comme « Lalla Fatima ». C’est pour cette raison que j’ai décidé de collaborer directement avec les artisans. Pas d’intermédiaires, ni de grossistes. Directement à la source. Des petits patelins du Maroc, de la médina de Marrakech jusqu’à chez vous.